Designer
Diplomée de l’Ecole Camondo en 2007, école référence dans le secteur de l’architecture d’intérieure, Chloé Nègre commence son activité au Printemps-Haussman et participe à la restructuration du magasin à Paris pendant 2 ans. Après une mission en Chine pour une agence d’architecture italienne, elle intègre le studio d’India Mahdavi en 2011 en tant qu’architecte d’intérieur. Pendant 4 ans, elle y suit les projets de l’Hôtel l’Apogée à Courchevel pour le groupe Oetker, de prestigieuses résidences privées dans le Connecticut, à Paris et à Londres et y apprend l’exigence et la recherche au service de la créativité.Nourrie de ces expériences et du projet de développer son propre langage, Chloé Nègre ouvre son propre studio en 2015. Sa passion pour l’artisanat, les voyages, son regard singulier, nourrissent ses premiers projets pour lesquels elle dessine des espaces aux identités particulières.
Son travail reflète le fruit des rencontres, l’histoire d’un lieu, réalisé avec une rigueur technique précise et audacieuse. « Je ne veux pas broder autour d’une image, fabriquer un cadre en dehors duquel rien n’existe. Je pense un lieu comme un tout, pour qu’il puisse être viable, pérenne, à la fois dans la réalité et le temps. »
Diplomée de l’Ecole Camondo en 2007, école référence dans le secteur de l’architecture d’intérieure, Chloé Nègre commence son activité au Printemps-Haussman et participe à la restructuration du magasin à Paris pendant 2 ans. Après une mission en Chine pour une agence d’architecture italienne, elle intègre le studio d’India Mahdavi en 2011 en tant qu’architecte d’intérieur. Pendant 4 ans, elle y suit les projets de l’Hôtel l’Apogée à Courchevel pour le groupe Oetker, de prestigieuses résidences privées dans le Connecticut, à Paris et à Londres et y apprend l’exigence et la recherche au service de la créativité.
Nourrie de ces expériences et du projet de développer son propre langage, Chloé Nègre ouvre son propre studio en 2015. Sa passion pour l’artisanat, les voyages, son regard singulier, nourrissent ses premiers projets pour lesquels elle dessine des espaces aux identités particulières.
Son travail reflète le fruit des rencontres, l’histoire d’un lieu, réalisé avec une rigueur technique précise et audacieuse. « Je ne veux pas broder autour d’une image, fabriquer un cadre en dehors duquel rien n’existe. Je pense un lieu comme un tout, pour qu’il puisse être viable, pérenne, à la fois dans la réalité et le temps. »